Résurrection : c’est en ces termes que Christian D’Heygere parle de ces (ou ses) objets qu’il fait revivre et qui, sans lui, armé de son détecteur de métaux, seraient perdus à jamais.
Qu’on ne se méprenne pas, il n’est animé par aucun aspect mercantile. Muni de sa carte de l’agence wallonne du patrimoine et de l’autorisation des propriétaires des champs qu’il prospecte il agit dans le respect des lois. Aucune pièce n’est jamais vendue et il entretient avec les amateurs d’histoire locale des relations étroites en mettant ses pièces à leur disposition comme nous pourrons le voir plus loin.